Dans le monde occidental, 58 % des garçons et 45 % des filles ont vu leurs premières images pornographiques entre 8 et 13 ans. En Afrique, le phénomène prend de l’ampleur. De plus en plus, c’est la pornographie qui fait office d’éducation sexuelle.

Pour leur éviter une sexualité formatée et mécanique, qui n’induit pas forcément la réciprocité des plaisirs et des désirs, les parents doivent-ils prendre les devants et s’occuper de l’éducation sexuelle de leurs enfants ? Et si oui, avec quels mots, quelles précautions ?

Axelle Jah Njiké, écrivaine et entrepreneuse, et Ali Habibbi, sexologue et thérapeute, répondent aux questions des internautes sur le plateau du « Monde Afrique ».