Des centaines de Tunisiens ont de nouveau manifesté lundi 25 juillet à Tunis contre un projet de loi controversé prévoyant l’amnistie des personnes poursuivies pour des délits de corruption en échange d’une pénalité financière.

Ce projet de loi dit de « réconciliation » avait été proposé l’an dernier par le président, Béji Caïd Essebsi, pour « améliorer le climat de l’investissement » dans un pays économiquement exsangue.