Interrogé par un employé de l’usine PSA de Poissy sur la fermeture de l’usine d’Aulnay en 2014, l’ancien ministre du redressement productif a défendu avoir voulu « sincèrement » sauver l’usine. « Nous n’avons pas pu sauver Aulnay, mais nous avons sauvé Peugeot », a-t-il conclu après avoir rappelé que l’Etat était entré au capital de l’entreprise.