Le gouvernement congolais a assuré jeudi 22 septembre avoir été « choqué » par l’accusation d’« exactions » contre son peuple lancée par François Hollande à New York, à propos des victimes de violences postélectorales. Kinshasa estime que le président français a fait preuve d’une « compassion » sélective vis-à-vis des victimes des violences – qui ont fait plusieurs dizaines de morts.