Le Maroc se prépare à une échéance électorale cruciale, les législatives du 7 octobre, qui pourraient rebattre les cartes du jeu politique.

Depuis leur victoire historique en 2011, les islamistes du PJD (Parti de la justice et du développement) sont au gouvernement. Le premier ministre, Abdelilah Benkirane, est issu de ses rangs, mais une autre formation, le PAM (Parti authenticité et modernité), qui se présente comme parti progressiste, espère renverser la tendance.

Les islamistes vont-ils confirmer leur assise populaire ? Quel jeu joue le palais royal dans la bataille politique ? L’analyse de Charlotte Bozonnet, journaliste au service international du Monde.