Le pitch du dernier film de Todd Solondz est simple : « C’est le portrait d’un teckel et de tous ceux auxquels il apportera un bref instant de bonheur. » Mais, bien sûr, il n’est pas seulement question de bonheur dans le septième long-métrage du réalisateur de Bienvenue dans l’âge ingrat (1995) et Happiness (1998), connu pour son style noir et grinçant. Les critiques cinéma du Monde, Jacques Mandelbaum et Thomas Sotinel, donnent leur avis sur ce film.

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