Personne, à gauche, n’a vu venir la victoire aussi large de François Fillon au premier tour de la primaire de la droite, ni une éviction aussi radicale de Nicolas Sarkozy.

La qualification de François Fillon pourrait renforcer les tensions entre François Hollande et Manuel Valls en vue de la présidentielle. Avant le second tour, qui a lieu le 27 novembre, la gauche est semble-t-il déjà en train de redistribuer les cartes.