Lors du dépouillement des bulletins en marge du référendum sur la réforme constitutionnelle en Italie, le 4 décembre. | MARCO BERTORELLO / AFP

Premier chef d’Etat étranger à réagir à l’annonce de la victoire du « non » au référendum sur la réforme constitutionnelle en Italie, François Hollande a adressé, aux premières heures du lundi 5 décembre, « sa sympathie » au président du Conseil Matteo Renzi.

Le président français a pris acte « avec respect » de la démission du chef du gouvernement transalpin. Dans un communiqué, l’Elysée « souhaite que l’Italie trouve en elle-même les ressorts pour surmonter cette situation ».

L’ancien premier ministre italien Massimo D’Alema (1998-2000), membre du Parti démocrate, la formation de M. Renzi, a salué la dignité du président du Conseil. Ce Romain de 67 ans était lui-même un fervent partisan du « non » au référendum du 4 décembre.