Le président turc, Erdogan, a accueilli mercredi Bana Al-Abed, la jeune Syrienne qui tweetait sur l’enfer d’Alep.

Le soutien de la Turquie à la population d’Alep reste pourtant ambigu au regard de son rapprochement avec la Russie. Important soutien des rebelles syriens, la Turquie s’est pourtant résignée à laisser les Russes bombarder Alep. Ce changement de cap permet à la Turquie d’obtenir une zone de sécurité à sa frontière.

Ce que lui refusaient les Occidentaux. Cette rencontre avec Bana est une manière de se donner une bonne image.