Il y a un an le camp humanitaire de Grande-Synthe était un modèle, un lieu aux normes internationales, créé à l’initiative du maire de la ville pour remplacer le « camp de la honte » dans le quartier du Basroch, où 1 400 Kurdes vivaient dans la boue.
Construit en partenariat avec Médecins sans frontières, le camp de Grande-Synthe est aujourd’hui un lieu surpeuplé, qui a mal vieilli et dont la population a changé.
Ce sont plus de 1 500 personnes qui y vivent en ce moment, principalement des Kurdes et un tiers d’Afghans.
Maryline Baumard, journaliste au service société du Monde, a répondu à vos questions en Facebook Live. L’essentiel résumé en deux minutes.

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