Le tribunal de commerce de Bobigny a validé, mardi 28 mars, le plan de rachat partiel de l’enseigne française de mode à bas prix Mim par le consortium formé par la marque suisse Tally Weijl et Etam, ce qui devrait se traduire par la suppression d’environ 800 emplois sur 1 500.

L’offre de Clémenty retoquée

Cette offre a été préférée à celle du groupe Clémenty, qui avait la faveur des salariés de l’enseigne d’habillement placée en redressement judiciaire, parce qu’elle permettait de sauvegarder 90 % des emplois et des points de vente.

A l’image des marques du groupe Vivarte (La Halle, André…), Mim n’a pas su faire face à la concurrence d’autres enseignes de mode à petit prix. Elle a été placée en redressement judiciaire en novembre.