Angela Merkel et François Hollande ont apporté leur soutien aux frappes américaines en Syrie tandis que la Russie et l’Iran ont condamné ces tirs de missile. Ce bombardement est intervenu dans la nuit du 6 au 7 avril, en réaction à l’attaque chimique survenue deux jours plus tôt sur Khan Cheikhoun, imputée au régime syrien.


Pour la chancelière allemande et le président français, le président Bachar Al-Assad en porte « l’entière responsabilité » et son recours aux armes chimiques ne pouvait rester impuni. François Hollande considère qu’il y a « à cause de ce drame, une possibilité aussi d’ouvrir des négociations et de permettre une transition politique en Syrie ».