Que ce soit à Berlin, Londres, Montréal ou encore Hongkong, les Français de l’étranger devaient s’armer de patience avant de pouvoir glisser leur bulletin dans l’urne au premier tour de la présidentielle, dimanche 23 avril, attendant pour certains de longues heures avant d’accéder à leur bureau de vote.

Selon le ministère des affaires étrangères, le dispositif de vote avait été prévu sur la base d’une participation équivalente à celle de 2002. « Or, apparemment, elle a plutôt été de l’ordre de celle de 2012. »