Depuis le 24 mai, les soupçons de conflit d’intérêts s’accumulent sur Richard Ferrand. Pourtant le ministre de la cohésion des territoires assure n’avoir rien fait d’illégal. Opération immobilière lucrative, obtention de contrats pour des proches, assistants parlementaires non déclarés, conflit d’intérêts avec son activité de député… Résumé en trois minutes des soupçons qui pèsent aujourd’hui sur l’ex-secrétaire général d’En marche ! alors que le parquet de Brest vient d’ouvrir une enquête préliminaire.