Chez les fourmis, il y a les travailleuses, celles qui s’activent. Et il y a les autres, les inactives qui profitent du travail des autres. Ces observations ont été mises en avant par une équipe de chercheurs de l’université de sciences et technologie du Missouri, parues dans la revue Insect Science en février 2017. Ils ont également constaté que plus la colonie était grande, plus il y avait d’inactives. Cela permettrait d’économiser l’énergie de la fourmilière et la nourriture. Mais également d’avoir des troupes disponibles en cas d’urgence.