Le jardin des Tuileries lors de la 15e édition de la Nuit blanche à Paris en octobre 2016. / GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP

Les Nuits blanches se suivent et tentent de ne pas se ressembler. Après deux éditions menées par José-Manuel Gonçalvès, directeur du Centquatre, puis une autre portée par Jean de Loisy, président du Palais de Tokyo, la direction artistique de la 16Nuit blanche, qui se tiendra le 7 octobre, a été confiée à Charlotte Laubard, qui a notamment dirigé le CAPC, le Musée d’art contemporain de Bordeaux. En juin, elle a révélé, avec le premier adjoint à la Mairie de Paris, Bruno ­Julliard, les grandes lignes de la programmation.

Intitulée « Faire œuvre commune », cette édition propose d’explorer des pratiques artistiques collectives et de « commémorer la force d’être ensemble », avec des œuvres au plus près des questions de circulation, de migrations et de marges.

Deux axes jalonneront la ­capitale : un « parcours nord », autour du quartier de la Chapelle, et un « parcours centre », qui se déploiera des abords des Halles et de l’Hôtel de Ville jusqu’à la place de la République. La vidéo et la performance mèneront la danse nocturne du « in », avec une trentaine de projets, que viendront compléter une centaine de propositions du « off ».

Sur le Web : www.paris.fr/nuitblanche