Sylvie Vartan, le 9 décembre 2017. / LUDOVIC MARIN / AFP

Dans des interviews au Figaro, au Parisien et sur le plateau de France 2, Sylvie Vartan livre sa version de l’affaire, dimanche 25 février, autour de la succession de son ancien mari Johnny Halliday, mort en décembre 2017. Son fils David, et Laura Smet dénoncent le testament américain de leur père au seul profit de sa veuve, Laetitia Halliday.

« Je peux pas imaginer que cela vienne de Johnny. J’ai du mal à le croire, regrette Sylvie Vartan dans son interview au Parisien. Ce n’est pas l’homme que j’ai connu, que j’ai aimé, follement. Non, je ne peux pas imaginer une seconde qu’il ait fait cela. Pour moi, c’est impensable qu’il ait pu renier sa propre histoire. »

« Je suis quelqu’un qui n’aime pas parler de choses très intimes mais je me sens obligée de sortir de ma réserve devant le déferlement, devant tout ce déballage assez dérangeant, l’exhibition de papiers personnels… Je n’ai jamais agi comme ça. »

« Vaudeville sordide »

Au sujet des informations selon lesquels David Halliday aurait reçu la part de la maison de ses parents, Mme Vartan conteste et explique au Parisien qu’elle ne « peut pas tolérer ce qu’on rapporte et ce qui est mensonger. Ce n’est pas une donation, c’est un jugement de divorce. » « Voir mon contrat de divorce ou d’autres documents intimes exhibés sur la place publique me met mal à l’aise, affirme-t-elle par ailleurs au Figaro parlant de « vaudeville sordide ». Je me demande qui envoie ces renseignements où la vérité est toujours travestie. »

« La justice fera son travail et voilà. Je ne peux que témoigner et parler de ma tristesse », a également confié Sylvie Vartan sur France 2, ajoutant que David, quant à lui, est « meurtri » et « blessé ».

Deux mois après la mort de Johnny Hallyday, les deux aînés du rocker, David et Laura, ont lancé des procédures pour faire annuler le testament de leur père, rédigé aux États-Unis au seul bénéfice de sa veuve Laeticia, quand le camp adverse leur oppose des donations dont ils auraient déjà bénéficié.