Le 13 novembre, la députée Ruth Coppinger a brandi un string au Parlement irlandais. Elle entend ainsi dénoncer la défense d’une avocate dans une affaire de viol. Effectivement, pour faire innocenter son client, l’avocate en question a présenté au tribunal le string que portait la plaignante le jour du viol, induisant un lien entre ses sous-vêtements et son consentement. Verdict : les jurés ont estimé que l’accusé n’était pas coupable de viol. Indignées, de nombreuses femmes ont posté des photos de leurs sous-vêtements avec le hashtag #ThisIsNotConsent (« ceci n’est pas du consentement ») et sont descendues dans la rue.