Des nanoparticules d’or étaient déjà utilisées dès l’Antiquité : la fameuse coupe romaine de Lycurgue (IVᵉ siècle), qui passe du rouge au vert suivant l’éclairage, en est l’illustration la plus connue. En fonction de leur forme, les nanoparticules ont des propriétés optiques, chimiques et une compatibilité dans le corps humain différentes, ce qui ouvre des champs de recherche très variés. En particulier dans le domaine de la thérapie contre le cancer… Explications des physiciens Olivier Pluchery, directeur du groupement de recherche Or-Nano (CNRS) et Magali Gary-Bobo, chercheuse à l’Institut des biomolécules Max-Mousseron à Montpellier, dans cette vidéo proposée en partenariat avec Universcience.tv.