Scott Morrison, premier ministre d’Australie, en janvier. / Darren England / AP

L’Australie a affirmé lundi 18 février que le piratage ayant visé les systèmes informatiques de son Parlement avait également touché plusieurs partis politiques du pays.

Lors de l’enquête sur ce piratage informatique, révélé le 8 février, « nous nous sommes également rendus compte que les systèmes de certains partis politiques, le Parti libéral, le Parti travailliste et le Parti national, avaient aussi été touchés », a déclaré le premier ministre australien, Scott Morrison, aux députés, précisant que « nos experts en cybernétique pensent qu’un agent étatique sophistiqué est responsable de cette activité malveillante ».