La montée des nationalismes et des politiques économiques protectionnistes met en lumière certains dysfonctionnements de la mondialisation. Présentée comme un outil d’émancipation économique pour les pays en développement, la mondialisation fait-elle plus de dégâts qu’elle n’offre d’avantages ? Le libre-échange doit-il être remis en question ? Quelles sont les conséquences d’un rejet de la mondialisation ?

Vendredi 15 mars, dans le cadre de la matinée de conférences « 2019, la fin d’un monde ? », l’économiste Yann Algan a livré une analyse de la mondialisation en forme de mea culpa.