Une patrouille de soldats français de l’opération « Barkhane » dans le village d’In-Tillit, au nord-est du Mali, en novembre 2017. / DAPHNE BENOIT / AFP

Marielle Debos (Université Paris Nanterre, sciences politiques) ; Fatoumata Coulibaly (Université des sciences sociales et de gestion de Bamako, géographe) ; Gilles Dorronsoro (Paris I, sciences politiques) ; Vincent Foucher (CNRS, sciences politiques, ancien rédacteur en chef de la revue Afrique contemporaine) ; Benjamin Soares (University of Florida, sciences politiques) ; Emmanuelle Olivier (CNRS, ethnomusicologie) ; Richard Banégas (Sciences Po) ; Anne Doquet (IRD, anthropologue et historienne) ; Adam Baczko (CESSP-Université Paris I Panthéon Sorbonne, sciences politiques) ; Marielle Debos (Université Paris Nanterre, sciences politiques) ; Eric Jolly (CNRS, anthropologie) ; Vincent Foucher (CNRS, sciences politiques) ; Jean-Loup Amselle (EHESS, anthropologie) ; Sonia Le Gouriellec (Université catholique de Lille, sciences politiques) ; Dougoukolo Ba-Konaré (docteur, sciences politiques) ; Jean-Nicolas Bach (CEDEJ Khartoum, sciences politiques) ; Romain Tiquet (Université de Genève, histoire) ; Serge Dewel (Inalco, histoire) ; Eloi Ficquet (EHESS, histoire) ; Anna Konieczna (Sciences Po) ; Francis Simonis (Université d’Aix-Marseille / IMAF, histoire) ; Marième N’diaye (CNRS, sciences politiques) ; Alain Gascon (Inalco, géographie) ; Ayrton Aubry (Sciences Po) ; Thomas Hippler (Université de Caen, histoire); Adriana Abdenur (Instituto Igarapé, sciences politiques) ; Mathieu Pellerin (Indépendant, sciences politiques) ; Antonin Tisseron (Indépendant, sciences politiques) ; Raphaëlle Chevrillon-Guibert (IRD, sciences politiques) ; Kai M. Thaler (University of California, sciences politiques) ; Adib Bencherif (Université d’Ottawa, sciences politiques) ; André Bourgeot (CNRS, histoire) ; Benjamin Soares (University of Florida, sciences politiques) ; Gilles Holder (CNRS, anthropologie) ; Séverine Autesserre (Université Columbia, sciences politiques) ; Nathaniel Powell (King’s College London, sciences politiques) ; Aurélie Campana (Université Laval, sciences politiques) ; Marie Brossier (Université Laval, sciences politiques) ; Daouda Gary-Tounkara (CNRS, histoire) ; Camille Popineau (Paris I - Panthéon Sorbonne, sciences politiques) ; Jalel Harchaoui (Institut Clingendael de La Haye, sciences politiques) ; Marie Vannetzel (CNRS, sciences politiques) ; Yvan Guichaoua (Université du Kent, Brussels School of International Studies, sciences politiques) ; Bruno Charbonneau (Collège militaire royal de Saint-Jean, études internationales) ; Alexandre Lauret (Université Paris VIII Vincennes Saint-Denis, géographie) ; Philippe Bonditti (Université catholique de Lille, sciences politiques) ; Jonathan M. Sears (Université mennonite canadienne, études de développement international) ; Marie Emmanuelle Pommerolle (Université Paris I - Panthéon Sorbonne, sciences politiques) ; Adam Sandor (University of Duisburg-Essen, sciences politiques) ; Amin Allal (CNRS, sciences politiques) ; Nina Wilén (Institut Egmont, sciences politiques) ; Florence Boyer (IRD, géographie) ; Amina Said Chire (Indépendant, géographie) ; Niagalé Bagayoko (African Security Sector Network, sciences politiques) ; Thierry Vircoulon (IFRI, sciences politiques) ; Folashade Soule-Kohndou (Indépendant, sciences politiques) ; Andrea Ceriana Mayneri (CNRS, anthropologie) ; Benoît Lallau (Sciences Po Lille et CNRS) ; Arthur Banga (Université Félix Houphouët-Boigny, histoire) ; Cédric Jourde (Université d’Ottawa, sciences politiques) ; Gilles Dorronsoro (Paris I, sciences politiques) ; Aziz Iraki (Institut national d’aménagement et d’urbanisme, géographie) ; Joseph Brunet-Jailly (Sciences Po, économie) ; Sandrine Perrot (Sciences Po) ; Fiona Schnell (Université Grenoble Alpes, droit) ; Didier Péclard (Université de Genève, sciences politiques) ; Laurent Gagnol (Université d’Artois, géographie) ; Géraud Magrin (Université Paris I Panthéon-Sorbonne, géographie) ; Séverine Awenengo Dalberto (CNRS, sciences politiques) ; François Robinet (Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, histoire) ; Corentin Cohen (Sciences Po) ; Thomas Fouquet (CNRS, anthropologie) ; Fanny Chabrol (IRD/CEPED, sociologie) ; Florence Brisset-Foucault (Université Paris I Panthéon-Sorbonne, sciences politiques) ; Chloé Buire (CNRS, géographie) ; Sara Dezalay (Cardiff School of Law and Politics, sciences politiques) ; Alexis Roy (CNRS, anthropologie) ; Gabrielle Angey (Université Paris Dauphine, sciences politiques) ; Boris Samuel (IRD, sciences politiques) ; Yasmine Bouagga (CNRS, sciences politiques) ; Tarik Dahou (IRD, socio-anthropologie) ; Charles Grémont (IRD, histoire) ; Manon-Nour Tannous (Université de Reims, sciences politiques) ; Mehdi Labzaé (Paris I Panthéon-Sorbonne, sciences politiques) ; Ophélie Rillon (CNRS, histoire) ; Alain Antil (IFRI, sciences politiques) ; Emilie Guitard (IFRA Nigeria, anthropologie) ; Laurent Gayer (CNRS/CERI-Sciences Po) ; Kristof Titeca (Université d’Anvers, études de développement) ; Corinna Jentzsch (Université de Leiden, sciences politiques) ; Koen Vlassenroot (Université de Gand, sciences politiques) ; An Ansoms (UCLouvain, études de développement) ; Denis Tull (SWP, sciences politiques) ; Jean-Hervé Jezequel (Maître de conférence en disponibilité, histoire) ; Andrew Lebovich (Columbia University, histoire) ; Laurent Fourchard (CERI-Sciences Po, histoire) ; Kieran Mitton (King’s College London, sciences politiques) ; Lamine Savané (Docteur en sciences politiques, Ater, Cepel Montpellier) ; Ronan Jacquin (Doctorant sciences politiques) ; Jérôme Valluy (Université Panthéon Sorbonne, Paris I, sciences de l’information et de la communication) ; Denia Chebli (Paris I Panthéon Sorbonne, sciences politiques) ; Kamina Diallo (Sciences Po) ; Noria (réseau de chercheurs indépendants) ; Lotje de Vries (assistant professor, Wageningen Université Pays-Bas) ; Bruno Losch (Cirad, économie) ; Elisa Lopez Lucia (Université libre de Bruxelles, sciences politiques) ; Elise Féron (Université de Tampere, sciences politiques) ; Ahmed Chapi (doctorant en sciences politiques, Université de Lausanne) ; Nathalie Duclos (maîtresse de conférences en sciences politiques, Université de Tours) ; Dilek Yankaya (Sciences Po Aix/Cherpa) ; Denis Pesche (CIRAD, sociologue) ; Thierry Giordano (Cirad, économiste) ; Romain Le Cour Grandmaison (doctorant, Paris I Panthéon Sorbonne, sciences politiques) ; Sandra Fancello (CNRS - Institut des mondes africains) ; Agnès Kedzierska-Manzon (EPHE, anthropologie) ; Pierre-Louis Mayaux (chercheur au Cirad, en poste au Maroc) ; Christophe Wasinski (REPI, Université libre de Bruxelles) ; Hélène Combes (rédactrice de Critique internationale) ; Pascal Buresi (directeur de recherche CNRS, directeur d’études à l’EHESS) ; Quentin Deforge (ATER en sciences politiques, Irisso, Université Paris Dauphine) ; Cécile Petitdemange (doctorante, assistante d’enseignement, Université de Lausanne) ; Sabine Planel (IRD, géographe) ; Etienne Smith (Sciences Po Bordeaux, maître de conférences) ; Hélène Charton (CNRS, Les Afriques dans le monde) ; Giulia Prelz Oltramonti (Université libre de Bruxelles) ; Gregory Mann (Columbia University, histoire) ; Laurence Dumoulin (chargée de recherche CNRS) ; Benoit Hazard (CNRS, anthropologue, co-rédacteur en chef des Cahiers d’études africaines) ; Joël Glasman (Geschichte Afrikas, Kulturwissenschaftliche Fakultät Universität Bayreuth) ; Bruce Whitehouse (Lehigh University, anthropologie) ; Elodie Apard (IFRA Nigeria) ; Stéphane Colovic (étudiant à Paris IMAF en histoire contemporaine de l’Afrique) ; Marc-André Boisvert (doctorant Université d’East Anglia, anthropologie) ; Jeanne Hersant (département de travail social, Université catholique du Chili) ; Akin Haydar Eren (doctorant, CNRS, ISP Nanterre) ; Christophe Baticle (socio-anthropologue, Amiens) ; Luca Raineri (Research Fellow, Sant’Anna School of Advanced Studies) ; François Burgat (Iremam, politologue) ; Loïc Le Pape (Université Paris Panthéon Sorbonne, sciences politiques) ; Mathieu Quet (IRD, sociologie) ; Nicolas Jaoul (CNRS IRIS) ; Valérie Arnould (Institut Egmont, sciences politiques) ; Silvia Serrano (Sorbonne Université, sciences politiques).