Mardi 18 juin, à Orlando en Floride. Des milliers de militants ont bravé la pluie et attendu des heures pour apercevoir le président-candidat. / CARLO ALLEGRI / REUTERS

Aux abords du stade, des partisans ont dressé une tente pour ne rien manquer du spectacle. Des écrans géants ont été installés. / CARLO ALLEGRI / REUTERS

Les sympathisants du président américain ont rempli les 20 000 sièges de l’Amway Center, enceinte de l’équipe NBA des Orlando Magics. / MANDEL NGAN / AFP

Sous les cris d’une foule enthousiaste, le républicain a donné le coup d’envoi de sa campagne pour un second mandat après sa victoire de 2016. / CARLOS BARRIA / REUTERS

« Quatre ans de plus ! Quatre ans de plus ! », reprenaient régulièrement ses soutiens dans la salle. / EVAN VUCCI / AP

Dans son discours à la tonalité nationaliste, il a de nouveau dénoncé l’immigration. / EVAN VUCCI / AP

Les enfants de Donald Trump, Tiffany, Eric, Ivanka et Donald Jr., étaient tous présents pour soutenir leur père. / EVAN VUCCI / AP

Jouant avec la foule, Donald Trump a fait mine de lui faire choisir, à l’applaudimètre, le meilleur slogan possible : « Conserver la grandeur de l’Amérique. » / CARLOS BARRIA / REUTERS

Donald Trump s’est rendu en Floride avec son épouse Melania, et son vice-président Mike Pence. / MANDEL NGAN / AFP

Parmi la foule de casquettes rouges, la présence remarquée des « Proud Boys », militants d’extrême droite pro-Trump. / GERARDO MORA / AFP

Donald Trump n’a jamais condamné clairement ces mouvances depuis les incidents meurtriers du 12 août 2017 à Charlottesville. / GREGG NEWTON / AFP

La police a dressé un cordon de sécurité entre les militants d’extrême droite et la foule d’opposants au président américain. / CHRIS O'MEARA / AP

Les anti-Trump ont donné de la voix et le célèbre « Baby Trump » en colère, a flotté dans le ciel d’Orlando en signe de protestation. / CHRIS O'MEARA / AP