« La première chose qui frappe en entrant sur le chantier, ce sont les gravats, les restes de bois et de pierres amassés sous la nef. L’autre élément frappant, ce sont les trous dans le toit. Le jour arrive par le haut de Notre-Dame. » Journaliste au service Sciences du Monde, Nathaniel Herzberg, fait partie des rares personnes à avoir pu approcher du gigantesque chantier de la cathédrale Notre-Dame. Une opération de stabilisation et de sécurisation qui mobilise près de 150 personnes, dont de nombreux chercheurs, avant même d’entamer la phase de reconstruction.