Critique de « Sully » : entre prouesse narrative et conjuration du 11-Septembre
Critique de « Sully » : entre prouesse narrative et conjuration du 11-Septembre
Par Anna Moreau, Mathieu Macheret, Isabelle Regnier
Durée : 04:21
Le 15 janvier 2009, New York assiste à l’amerrissage extraordinaire d’un Airbus A320 sur le fleuve Hudson. Après avoir perdu les deux réacteurs de l’appareil, le pilote, Chelsey Sullenberger, était parvenu à sauver la vie de tous les passagers et de l’équipage. Dans son film Sully, Clint Eastwood raconte cette histoire vraie en prenant le parti narratif de multiplier les points de vue impliqués dans cet évènement. En toile de fond, New York, huit ans après les attentats du 11 septembre 2001, ajoute une dimension cathartique au récit de l’exploit du pilote, Sully. La critique en vidéo d’Isabelle Regnier et Mathieu Macheret.