De g. à dr. : Bachar Al-Assad, Kim Jong-un et Vladimir Poutine. | Sana/Reuters. KCNA/Reuters. Jean-Claude Coutausse / french-politics pour Le Monde

« Le nom de Fidel Castro vivra à jamais dans l’esprit des générations et inspirera ceux qui aspirent à une véritable indépendance. (…) Le grand leader Fidel Castro a mené la lutte de son peuple et de son pays contre l’impérialisme et l’hégémonie pendant des décennies. »
Bachar Al-Assad, président de la République arabe syrienne, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité par de nombreux observateurs depuis le début de la guerre civile, en 2011.

« Un ami proche et un camarade. »
Kim Jong-un, chef suprême de la République populaire démocratique de Corée, pays classé avant-dernier (devant l’Érythrée) dans le classement de la liberté de la presse établi par Reporters sans frontières.

« Cet homme d’État émérite est à juste titre considéré comme le symbole d’une époque de l’histoire moderne du monde. »
Vladimir Poutine, président de la Fédération de Russie. Le 2 novembre 2016, le bureau d’Amnesty International à Moscou a été placé sous scellés.

De g. à dr. : Xi Jinping, Hassan Rohani, Alexandre Loukachenko. | Ebrahim Noroozi/AP. President.ir. Reuters/Ria Novosti

« Le camarade Castro vivra éternellement. »
Xi Jinping, secrétaire général du Parti communiste chinois et président de la République populaire de Chine, considéré par Reporters sans frontières comme un « prédateur de la presse ».

« Un guerrier infatigable. »
Hassan Rohani, président de la République islamique d’Iran, fréquemment dénoncé par l’ONG Human Rights Watch.

« Une personne chère et un penseur unique. »
Alexandre Loukachenko, président de la République de Biélorussie, où, selon Amnesty International, la législation limite la liberté d’expression et où les minorités sexuelles sont victimes de discriminations et de violences.