Pris à partie par la communauté internationale et l’opposition, le président gabonais a affiché sa fermeté, jeudi 1er septembre, lors d’une conférence de presse après les violences qui ont éclaté à la suite de l’annonce de sa réélection. Ali Bongo a tenu responsable l’opposition des émeutes et de la mort de trois personnes. Le gouvernement a annoncé un millier d’interpellations.