« La philanthropie a besoin d’un contrôle et de mesures d’impact plus strictes »
« La philanthropie a besoin d’un contrôle et de mesures d’impact plus strictes »
Durée : 03:12
Bathylle Missika est conseillère principale auprès du directeur (par intérim) et chef de l’unité des partenariats et réseaux au centre de développement de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Elle déplore que la philanthropie ne prenne pas plus de risques et qu’elle ne s’impose pas un contrôle et des mesures d’impact plus strictes.
Jusqu’en 2012, Bathylle Missika a travaillé au sein du bureau des conflits du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), où elle était chargée d’un portefeuille d’Etats fragiles ou en situation d’après conflit en Afrique. Ces deux expériences l’ont amenée à travailler sur les questions de gouvernance, de fragilité des Etats et de provision de services sociaux de base.
Bathylle Missika intervenait à l’occasion des débats « Repenser la philanthropie » organisés par Le Monde Afrique et Le Temps le 12 octobre 2017, à Genève (Suisse).