Des scènes de bousculade et de bagarre dans des Intermarché pour du Nutella en promotion à moins 70 % : les images avaient marqué, début 2018. Il s’agissait de revente à perte, a établi la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), ce qu’a également reconnu le groupe de grande distribution. Intermarché a reconnu les faits et « a accepté le paiement d’une transaction pénale de 375 000 euros », précise le rapport annuel de la DGCCRF. Il s’agit de l’amende maximale encourue pour une personne morale pour de la revente à perte. Depuis, la loi alimentation votée en septembre permet d’encadrer les promotions des produits de grande consommation.

Pourquoi les soldes peuvent rendre violent
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