Juppé évoque sa condamnation dans l’affaire des emplois fictifs : si les Français « estiment que ma faute me disqualifie, ils ne m’éliront pas »
Juppé évoque sa condamnation dans l'affaire des emplois fictifs : si les Français « estiment que ma faute me disqualifie, ils ne m'éliront pas »
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Alain Juppé a déclaré jeudi 13 octobre, au sujet de sa condamnation pour prise illégale d’intérêt en 2004, que si les Français « estiment que ma faute me disqualifie, ils ne m’éliront pas », lors du premier débat télévisé de la primaire de la droite.
« Je tiens mon casier judiciaire à la disposition de Bruno », a-t-il ironisé à l’adresse de M. Le Maire, qui veut que tout candidat à une élection rende public son casier judiciaire.
M. Juppé a été condamné en 2004 pour « prise illégale d’intérêt » à quatorze mois de prison avec sursis et à un an d’inéligibilité dans l’affaire des emplois fictifs de la Mairie de Paris.