Considérant que le Brexit est une tragédie, le président de la Commission a expliqué, vendredi 5 mai à Florence, avoir choisi la langue française plutôt que l’anglais pour s’exprimer. Il a assuré dans un premier temps et avec une pincée d’ironie que l’anglais perdait de l’importance en Europe.

Il a également évoqué plus sérieusement la présidentielle française, souhaitant prioritairement que les Français comprennent sa vision de l’Europe. Après cette première partie en langue anglaise, il a poursuivi son allocution dans un français parfait.