Quelques heures avant que Donald Trump ne prête serment et ne devienne officiellement président des États-Unis, des centaines d’Américains manifestaient contre le milliardaire, jugé tantôt « raciste », tantôt « sexiste ». Même à Tokyo, quelques dizaines d’expatriés américains ont marché pour exprimer leur « inquiétude ». En Allemagne, l’ONG Greenpeace a appelé Donald Trump à « construire des ponts », plutôt que des murs, déployant une banderole devant les restes du mur de Berlin.