Cérémonie des docteurs - Sorbonne universités (2011). | Flickr cc - Camille Stromboni (cc by 2.0)

La saison 2017 de « Ma thèse en 180 secondes » est lancée. Ce concours de vulgarisation scientifique, organisé par la Conférence des présidents d’université (CPU) et le CNRS, voit chaque année s’affronter doctorants et jeunes docteurs avec un défi de taille à relever : celui d’expliquer au grand public leur sujet de recherche, de manière simple, en trois minutes chrono.

A compter du 23 mars, 27 regroupements universitaires français vont chacun sélectionner leur candidat ou candidate – ce qui représente près de 200 établissements d’enseignement supérieur et de recherche, dont l’ensemble des universités françaises. Les heureux élus se retrouveront pour la demi-finale puis la finale à Paris, le 15 juin. Enfin, le vainqueur de ce round national, ainsi que le doctorant arrivé en deuxième place, iront défendre les couleurs de la France lors de la finale internationale, le 28 septembre, à Liège en Belgique.

Après le Québec en 2014 et la France en 2015, le Maroc a accueilli en 2016 cette finale internationale du concours de doctorants francophones, en faisant la part belle aux doctorantes. Des étudiantes suisse, québécoise et marocaine ont été distinguées, ainsi qu’un thésard français qui a décroché la troisième place : Nicolas Urruty, doctorant de l’INRA à l’université de Poitiers (Vienne), qui s’est penché sur l’« Impact de la réduction des pesticides sur le rendement du blé en France ».