Affaire Benalla : « Il n’existe pas de police parallèle » à l’Élysée, assure Alexis Kohler
Affaire Benalla : « Il n’existe pas de police parallèle » à l’Élysée, assure Alexis Kohler
Durée : 03:40
« Je ne méconnais pas la gravité des faits. Ni ce jour-là, ni aujourd’hui. » Les auditions se poursuivent dans l’affaire Benalla. A l’Assemblée nationale et au Sénat, les parlementaires reçoivent à tour de rôle les personnes ayant pu jouer un rôle dans cette affaire.
Ce jeudi 26 juillet, c’était au tour du secrétaire général de la présidence de la République, Alexis Kohler, de s’exprimer. A l’image de Gérard Collomb, Michel Delpuech ou Alain Gibelin. Le rôle de Benalla lors la manifestation du 1er-Mai, la sanction qui lui a été donnée, les avantages dont il bénéficiait : les questions se sont enchaînées pour déterminer les responsabilités de chacun.
« A la lumière des faits connus depuis, la sanction peut apparaître insuffisante mais symétriquement, au regard des éléments connus le 2 mai, cette sanction était proportionnée », a expliqué le secrétaire général de la présidence de la République aux sénateurs. « Je n’ai aucun problème à dire, et je l’assume, qu’Alexandre Benalla était quelqu’un de très engagé, extrêmement dévoué, extrêmement disponible », a-t-il ajouté lors de son audition.